Étymologie et orthographe de Termes (Aude)

      Dès 1912 dans son Dictionnaire topographique de l’Aude, publié en 1912, l’abbé Sabarthès relève les formes vulgaires, c’est à dire occitanes, des communes audoises. Toutefois ce relevé n’est pas celui d’un linguiste : les noms occitans sont orthographiés selon une phonétique française parfois approximative. Entre 1981 et 1986 Jacques Boisgontier publie aux éditions du C.N.R.S. un Atlas linguistique et ethnographique du Languedoc oriental. Cet atlas issu d’une enquête rigoureuse donne une nouvelle liste des formes occitanes d’une partie des communes de l’Aude. Cependant nombre de lieux n’ont pas été enregistrés à cette occasion, particulièrement les microtoponymes. C’est pourquoi Jacques Boisgontier lance en 1991 avec l’Institut d’Estudis Occitans et le soutien du Conseil général une nouvelle enquête toponymique sur le département : Cèrcanoms-Aude. L’objectif de cette enquête était de conserver et de se réapproprier les noms de lieux et les gentilices formant un véritable patrimoine vivant.

Sur cette photo prise par Franc Bardou depuis le Roc de la Frau (à gauche) on aperçoit les gorges du Termenet, l'éperon du Termenet où se trouvait la fortification du même nom et derrière le château de Termes

Sur cette photo prise depuis le Roc de la Frau (à gauche) on aperçoit les gorges du Termenet, à droite l’éperon du Termenet où se trouvait la fortification du même nom et derrière le château de Termes

      Malgré leur indéniable intérêt ces enquêtes souffrent de quelques défauts. D’un part parce que la qualité des données est très inégale. Si les données recueillies directement par Jacques Boisgontier auprès d’informateurs locaux peuvent être considérées comme fiables, les données issues des formulaires envoyés aux mairies ont été tributaires de la qualité des informateurs. Par exemple certains informateurs ne connaissant pas la forme occitane d’un lieu en ont fait une traduction d’après la forme qu’ils connaissait en français. Or la forme française étant parfois fautive, sa traduction en occitan l’est devenue. Prenons l’exemple du village appelé jusqu’au XVIIIe siècle Rofian del Quier, situé au pied du château de Peyrepertuse. Ce village devient dans l’usage de l’administration française au XIXe siècle Rouffiac-des-Corbières, par confusion avec Rouffiac-d’Aude. La traduction en occitan proposée par Boisgontier est Rofiac de las Corbièras, alors que la forme correcte attestée par la tradition orale et écrite est bien Rofian. D’autre part les noms recueillis n’ont pas fait l’objet d’une confrontation avec les formes anciennes. Enfin le choix de la graphie n’a pas été explicité alors que pour certaines localités on avait le choix entre une graphie conforme à l’occitan normalisé et une graphie conforme aux usages locaux. Ainsi à Belpech la forme locale Bèlpuèg a été préférée à la forme normalisée Bèlpech. Mais à Tuchan la forme normalisée Tuissan a été préférée à la forme locale Tuixan.

      Des résultats de la dernière enquête seule a été publiée une liste de référence des noms occitans des localités audoises. Cette liste est utilisée à partir de 1993 par le département de l’Aude pour poser des panneaux routiers bilingues à l’entrée des villages. C’est ainsi qu’au début de l’été 1993 le village de Termes est doté à chacune de ses entrées d’un immense panneau bilingue ou l’on peut lire TERMES – TÈRMES.

     Indépendamment des enquêtes dirigées par Jacques Boisgontier j’avais moi-même, en 1986 et 1987, réalisé une enquête toponymique sur une trentaine de communes des Hautes Corbières dans le cadre de l’enquête patrimoniale que je réalisais alors pour le Comité départemental du patrimoine culturel audois. J’avais relevé tous les noms de localités (communes, hameaux, châteaux…) encore habités ou non, ainsi que tous les microtoponymes de la commune de Palairac. Ce relevé s’appuyait à la fois sur la tradition orale recueillie auprès des personnes âgées et sur l’exploitation de nombreux documents écrits (cadastre, cartes, compoix, actes anciens…). Or pour quelques localités mes conclusions différaient de la liste de Jacques Boisgontier. C’était le cas pour Termes. Étant alors président de l’Association de sauvegarde du château de Termes j’avais alerté la mairie et le Conseil général sur ce point. Et pour prouver mes affirmations j’avais rédigé la note suivante, publiée dans le Bulletin de la société d’études scientifiques de l’Aude. C’est une version mise à jour de cette note que vous trouverez ci-dessous :

Notes de toponymie audoise
Orthographe et étymologie de Termes (Aude) et des noms dérivés

1) Orthographe de Termes

      Plusieurs formes coexistent dans les chartes médiévales pour désigner le lieu de Termes. Si l’on élimine les copies souvent pleines de fautes et en ne gardant que les formes attestées par des chartes originales ou deux cartulaires fiables : celui des Trencavel, et le Livre des fiefs de la Couronne d’Aragon (1), tous deux de la fin du XIIe siècle, on relève principalement deux formes, l’une au singulier, en latin nominatif Terminum, (ablatif Termino, en occitan Tèrmen ou Tèrme (ce qui se prononce de la même manière) ; l’autre au pluriel, en latin nominatif Termina, (ablatif Terminis, en français Termes. La première forme, au singulier, est la seule attestée jusqu’à la fin du XIIe siècle :

Sur ce nouveau panneau, implanté à l'entrée sud de Termes, l'orthographe occitane a été rectifiée conformément aux conclusions de cette not. (Photo : Hannes CEULEMANS - Château de Termes)

Sur ce nouveau panneau, implanté à l’entrée sud de Termes, l’orthographe occitane a été rectifiée conformément aux conclusion de cette note.
(Photo : Hannes CEULEMANS – Château de Termes)

(Les formes en occitan sont en italique pour les distinguer des formes latines)

  • 1061, « Olivari Bernardi de Termino », L.F.M. II 298.
  • 1084, vers, « Castello quem vocant Termen », cartulaire des Trencavel, acte 186.
  • 1084, vers, « Petro Oliverii de Terme », H.G.L. V 364 II d’après le cartulaire des Trencavel acte 186.
  • 1112, vers, « Castel de Terme », cartulaire des Trencavel, acte 189.
  • 1139, « Castello qui vocatur Termen », cartulaire des Trencavel, acte 187.

     La deuxième forme, au pluriel, apparaît pour la première fois dans un acte daté de 1110 mais c’est en réalité un faux du XIIIe siècle (2). Cette forme apparaît en réalité pour la première fois dans une copie faite à la fin du XIIe siècle par un barcelonais d’un acte de 1179. On retrouve cette graphie sous la plume de Pierre « Serptos », notaire de l’abbaye de Lagrasse, dans un acte daté de 1215 où le nouveau seigneur de Termes, Alain de Roucy, d’origine champenoise, règle des différents avec l’abbaye de Lagrasse sous l’arbitrage de différents croisés dont Simon de Montfort. On retrouve les deux formes mêlées dans l’acte de remise du château de Termes par Olivier et Bernard aux représentants du roi de France.

(Les formes en langue vulgaire : français, occitan ou catalan sont en italique).

  • 1179, « castrum de Terminis », L.F.M., t. II, p. 332-333, actes 856-857.
  • 1212, vers, « Termas… castrum Termarum, Historia Albigensis.
  • 1215, « Termes… Terminis », A.D. Aude H159.
  • 1228, « Olivarius et Bernardi de Terminis… domino de Termino… castrum de Termes », A.N. J295/6.
  • XIIIe, « Li chastiaus de Termes », Histoire Albigeoise (3).

     Ainsi, la forme au pluriel, beaucoup plus tardive que la forme au singulier semble due à une erreur de greffiers étrangers à la région. Elle s’impose pourtant dans les usages de la chancellerie royale française, par exemple pour désigner le célèbre Olivier de Termes qui est systématiquement appelé « Oliverius de Terminis » dans les lettres de saint Louis et par la chancellerie pontificale. La plupart des chroniqueurs de la deuxième moitié du XIIIe siècle en font de même, Joinville l’appelle en français « Olivier de Termes » (4), Bernat Desclot l’appelle en catalan « N’Olivier de Térmens » (5).

Premier sceau d'Olivier de Termes, 1241 (Moulage : Archives nationales, service des sceaux, D 3675)

Premier sceau d’Olivier de Termes, 1241
(Moulage : Archives nationales, service des sceaux, D 3675)

      Par contre Guilhem de Tudèle, dans la Chanson de la Croisade albigeoise, écrit en occitan Terme, à l’exception d’une fois (paragraphe 57) qui peut d’ailleurs être une erreur de copiste (6). Le premier sceau d’Olivier de Termes, apposée à un acte de 1241 porte en légende OLIVER DE TERME (Douais d’Arcq, 3675). Son second sceau, connu par trois empreintes des années 1259 et 1260 (A.D. Aude H 26 et H 206), porte en légende OLIVIER DE TERME. Ce chevalier est encore désigné en 1263 dans une lettre en occitan du sénéchal de Carcassonne par « Monssenher N’Olivier de Terme » (Archives communales de Narbonne, AA 107 f° 68 v°). Enfin, la forme encore attestée en occitan, que nous avons recueilli auprès de messieurs Joseph Baro et Jean Séguy, de Termes, s’écrit Tèrme.

     Signalons également quelques graphies rares ou incorrectes :

      Pierre des Vaux de Cernay écrit vers 1212 « Castrum Termarum… prope Termas » (7), déclinant Termes sur la première déclinaison (rosa), ce qui donne au nominatif pluriel Termae, ou plutôt Terme comme on écrivait à l’époque. Le chroniqueur ou ses copistes ont sans doute confondu la terminaison occitane en -e avec un nominatif pluriel.

      On trouve parfois la graphie latine Terminium, qui résulte généralement d’une erreur de transcription dans les copies modernes, par confusion avec le nom commun terminium, qui signifie en latin médiéval terroir, confins.

      On trouve encore parfois la graphie Thermes, dans certaines copies modernes de chartes médiévales ou dans les publications de quelques auteurs mal renseignés, par confusion avec le nom commun thermes, bain, très fréquent dans la toponymie.

      Enfin, signalons la graphie « Castrum Finarum » qui apparaît pour la première fois dans une copie médiévale de l’Historia Albigensis de Pierre des Vaux de Cernay, puis est reprise au XXe siècle par le docteur Courrent (8). Elle peut se traduire par château des limites ou des confins.

      En conclusion la forme originelle et correcte est la forme au singulier, soit Terminum en latin, Tèrme ou plutôt Tèrmen en occitan, Térmen en catalan. Cette forme a coexisté jusqu’à nos jours et dans différentes langues avec la forme au pluriel mais c’est cette dernière forme qui s’est imposée dans l’usage officiel.

Panneau à l'entrée nord du village (Photo : Hannes CEULEMANS)

Panneau à l’entrée nord du village
(Photo : Hannes CEULEMANS)

2) Étymologie

      Deux mots du latin antique de même racine et de sens voisin peuvent être avancés comme origine :

  • Termen, génitif terminis, la borne.
  • Terminus, génitif termini, la borne, la limite, le dieu Terme qui préside aux bornes.
  • Et dérivé de ce dernier mot, le latin médiéval terminium, le terme, le confins, le terroir.

      Terminus et terminium ont donné en occitan médiéval tèrme, qui cumule avec ses dérivés la plupart de ces sens : terme, borne, limite, confins, terroir, et les sens qui en dérivent : limite -> talus d’un champ ; borne -> tertre ; flanc de montagne (au sens de limite d’un terroir cultivable)… (9). Le catalan et l’italien ont également conservé le mot terme dans les mêmes sens.

     Alain Nouvel et Bernard Dimon (10) proposent de retenir le sens de tertre, talus, flanc de montagne, en rapport avec la topographie des lieux. Mais outre que ce sens semble récent, bien des lieux peuvent faire l’affaire.

      L’abbé Astruc, et à sa suite Alain Termens (11) proposent comme origine possible un sanctuaire dédié au dieu Terme, qui aurait pu se trouver à l’emplacement du château. Or, contrairement à Peyrepertuse ou Rennes-le-Château, aucune occupation antérieure au Xe siècle n’est encore attesté sur le site du château de Termes (12). Par ailleurs si ce sanctuaire a existé, il a dû être établi sur une borne ou limite de territoire.

      Or, comme nous l’avons montré dans un précédant article (13), le lieu de Termes est à l’époque carolingienne à la limite de trois « pagi », le Carcassès, le Rasès, et le Narbonès. Dans l’Antiquité la limite des cités de Carcassonne et de Narbonne devait également passer non loin de là.

      Les toponymes ayant la même origine sont très nombreux dans le domaine linguistique des langues romanes. J. Lemoine cite Termes-d’Armagnac, Gers, à la limite de l’Armagnac ; Thermes-Maognac, Hautes-Pyrénées, à la limite du Comminges et du pays d’Auch ; Tiermas, Aragon, à la limite de la Navarre etc. (14) Citons encore Termens, Catalogne, province de Leida, qui constituait la limite des possessions musulmanes jusqu’en 1147, ou encore le Pic des trois Termes, Pyrénées-Orientales, à la limite de trois communes.

      En conclusion, le village de Termes tire probablement son nom d’une limite de territoires.

3) Noms dérivés

a) Le Termenès

      Le Termenès, nom qui désigne le territoire de l’ancienne seigneurie puis de la viguerie et de l’archiprêtré de Termes, est attesté en occitan sous la forme Termenés, en latin médiéval sous la forme Terminesium, et en français sous la forme Termenois, forme qui n’est plus aujourd’hui employée. Ces trois formes dérivent du latin Terminensis (Terminum + suffixe -ensis).

  • 1067, « Termenes », L.F.M. II 814.
  • 1118, « Termenez », H.G.L. V.
  • 1150, « Termense », L.F.M. II p. 329.
  • 1191, « Termenez », Cart. Trenc. 590.
  • 1228, « Terram de Terminesio », A.N. J295/6.
L'attaque du Termenet par Simon de Montfort (Dessin de Lionel Duigou d'après les indications de Gauthier Langlois)

L’attaque du Termenet par Simon de Montfort
(Dessin de Lionel Duigou d’après les indications de Gauthier Langlois, Hannes Ceulemans et Guilhem Baro)

b) Le Termenet

     D’après la chronique de Pierre des Vaux de Cernay le Terminetum, forme latine, ou le Termenet, forme occitane et française, désignait une tour placée sur un piton rocheux située à un jet de pierre du château. Le toponyme s’est conservé pour désigner les gorges du Sou, au nord du château et le rocher qui les surplombe. Les habitants emploient encore la forme Termenet, parfois abrégée en Termet (15). Nous avons trouvé sur ce rocher les vestiges d’un mur de plus de 1,5 m. d’épaisseur bâti à la chaux qui semblent être les vestiges de cette tour dont l’emplacement a fait couler beaucoup d’encre (16).

  • 1212, vers, « turra munitio modica, sed fortissima, que vulgo Terminetum dicebatur », Historia albigensis, para. 171.
  • XIIIe s. « Un petit chastel, mes il estoit forz, qui iert appelez le Terminet », Histoire Albigeoise, para. 171, t. III, p. 59.
  • 1990, « Gorgas dal Termenet », B. Dimon, op. cit., p. 11.

      L’étymologie est simple : fortin face au château de Termes on lui a tout simplement donné le nom de petit Termes.

c) Habitants de Termes

      Les habitants de Termes sont désignés en occitan de nos jours sous le nom de termenes, féminin termenesa, pluriel termeneses et termenesas ; ou péjorativement sous le nom de termenot(s). En français sont attestées les formes termenois, féminin termenoise(s). Toutes ces formes sont formées régulièrement du nom du lieu et d’un suffixe collectif : -és en occitan, -ois en français ; du latin -ensis. La forme latine terminensis n’est attestée dans les sources médiévales que comme adjectif, dans le sens « de Termes », ou « du Termenès », et non comme désignation des habitants de Termes.

d) Noms de personnes

      Les chartes médiévales nous livrent quelques noms de personnes formés sur Termenès, traduisant sans doute leurs origines :

  • En 1179, un certain « Alegre de Termeres » fait partie des chevaliers de Roger, vicomte de Béziers et de Carcassonne, qui font hommage à Alphonse, roi d’Aragon (17).
  • En 1305, un certain « Bernardo Termenes » est syndic de la ville de Montisalbi (18).
  • En 1317 un certain « Guillelmus Termini » est propriétaire à Fanjeaux, au lieu-dit « ad Serram Curam » (19).

En résumé, voici les formes correctes dans les trois langues :

Langue

Village

Région

Petit Terme

Habitant

Latin Terminum Terminesium Terminetum Terminensis (non attesté)
Occitan Tèrme(n) Termenés Termenet Termenés (m.) Termenesa (f.) Termenot (péj.)
Français Terme Termenois Terminet Termenois (m.) Termenoise (f.)

 

Pour en savoir plus :

     Cet article est la version électronique mise à jour de l’article suivant :

  • Langlois (Gauthier). – « Étymologie et orthographe de Termes (Aude) et des noms dérivés », Bulletin de la Société d’études scientifiques de l’Aude, tome LXXXXIII, 1993, p. 167-169.

Voir aussi le site officiel du Château de Termes : http://www.chateau-termes.com/

Notes


(1) Cartulaire des Trencavel, conservé à la Société archéologique de Montpellier. Liber feudorum major, (L.F.M.), édité par Francisco Miquel Rosell, Barcelona, 1945, 2 vol.

(2) Hommage du vicomte de Carcassonne à l’abbé de Lagrasse, cf. MAGNOU-NORTIER (Élisabeth), MAGNOU (Anne-Marie). – Recueil des chartes de l’abbaye de Lagrasse. Tome 1, 779-1119, Paris: Comité des travaux historiques et scientifiques, 1996, acte 188, p. 249.

(3) GUEBIN (Pascal), LYON (Ernest). – Petri vallium Sarnarii… Historia Albigensis, Paris, Champion, 1926-1939. T. 3, 1939, p. 59, paragraphe 171. (Traduction anonyme du XIIIe siècle, mss. L. de Bruxelles ms. 15703, et ms. M copie XVIIIe d’un manuscrit disparu, B.N. Moreau 1719).

(4) Jean de Joinville. – Histoire de saint Louis, éditée par Natalis de Wailly, Paris, 1867. Ed. dans la coll. de la Pléiade, 1986, p. 203.

(5) DESCLOT (Bernat). – Cronica, Llibra del rei en pere, éditée par SOLDEVILLA (Ferran), Barcelona, editorial selecta, 1971, p. 427.

(6) Guillaume de Tudèle et l’anonyme. – La Chanson de la Croisade Albigeoise, éditée et traduite en français par MARTIN-CHABOT (Eugène), Paris, Les Belles Lettres, 1957-1961, 3 vol.

(7) GUEBIN (Pascal), LYON (Ernest). – Op. Cit., t. 1, p. 113, (para. 108) ; p. 152 (para. 148) ; p. 170-193 (para. 168-192).

(8) Ms Ca, Cf. GUEBIN (Pascal), LYON (Ernest). – Op. Cit.,, t. 1, p. 113. COURRENT (Dr. Jean Paul). – « Notice sur le château de Termes », Intérêt général de l’Aude, n° du 1er février 1909.

(9) ALIBERT (Louis). – Dictionnaire Occitan-Français d’après les parlers languedociens, Institut d’Etudes Occitanes, Toulouse, 1977, pp. 657-658.

(10) NOUVEL (Alain). – Les noms de lieux témoins de notre histoire, Connaissance de l’Occitanie, n°5, 1981. DIMON (Bernard), Origine des noms de lieux de la commune de Termes, Termes, s.d., xérographié, p. 2.

(11) ASTRUC (abbé J.). – Termes en Termenès, Grenoble, 1939, pp. 7-10. TERMENS (Alain). – « Etymologie et Termenès », Cahiers d’études cathares, n° 109, 1986, pp. 60-63.

(12) Un fragment d’amphore découvert en 1992 en surface près de la chapelle du château est le seul indice d’une possible occupation du site à l’époque romaine. (Cf. rapport de fouilles 1992, p. 22).

(13) LANGLOIS (Gauthier). – « La formation de la seigneurie de Termes », Heresis, t. 17, 1991, pp. 53-55 et n° 18, juin 1992, p. 71.

(14) LEMOINE (Dr. Jacques). – Toponymie du Languedoc et de la Gascogne, Paris, Picard, 1975, p. 112.

(15) Communication orale de P. Alquier, in GUEBIN (Pascal), LYON (Ernest). – Op. Cit., t. 1, 1926, p. 174.

(16) Cf. LANGLOIS (Gauthier). – « Le siège du château de Termes par Simon de Montfort en 1210, problèmes topographiques et historiques », Heresis, n° 22, juin 1994, pp. 101-134 et n° 23, décembre 1994, pp. 87-89.

(17) L.F.M., t. II, p. 338.

(18) 25 mai 1305. Acte de protestation de Raimond d’Urban, procureur de Gaston I comte de Foix, devant les Cortès assemblées à Barcelone, contre l’aliénation faite par Guilhem de Moncada d’une partie de ses terres en Catalogne. BAUDON de MONY (Ch.), Relations politiques des comtes de Foix avec la Catalogne jusqu’au commencement du XIVe siècle, t. II, Paris, Picard, 1896, p. 300.

(19) GUIRAUD. – Cartulaire de Prouille, t. I, p. 163.

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Un commentaire pour Étymologie et orthographe de Termes (Aude)

  1. J’ai appris plein de trucs! Merci !

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